Philosopher, c’est apprendre à ne plus regarder de séries ?

Je suis assez effaré du contenu de cet article et que cela soit considéré comme de la philosophie… J’y vois plutôt une série de poncifs (le divertissement comme échappatoire à l’angoisse de l’existence)  et d’enfonçage de portes ouvertes (la consommation c’est mal et la compulsion, c’est mauvais ). Et puis, le philosophe ne propose pas par quoi remplacer le visionnage : lire ? aller se promener dans la nature ? visiter des musées ? discuter entre amis ? travailler plus ? Se tourner vers une entité supérieure ? Je trouve  cela un tantinet moralisateur.