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La bibliothèque de Julien Gracq

Dans la bibliothèque de la maison de Gracq se trouvent les livres non précieux qui composaient les bibliothèques de l’écrivain à Saint Florent le Vieil et à Paris. Les éditions rares ou dédicacées ont en effet été vendues aux enchères. C’est émouvant de se promener dans ces rayonnages et d’apercevoir des livres partagés avec lui, comme ceux de Tolkien, Lovecraft ou Borges.

Bibliomanie

Carl Spitzweg,1850.

Le site Atlas Obscura revient sur une maladie mentale liée à la possession compulsive de livres. C’est à lire ici, en anglais. Le site mentionne aussi un ouvrage du XIXe siècle consacré à cette maladie :

Cela me donne envie de me le procurer !

Les écrivains les plus riches

Un classement, réalisé par le magazine Forbes, compile des chiffres officiels et des analyses d’experts du secteur afin d’estimer les revenus des auteurs sur leurs ventes mais aussi les droits qu’ils perçoivent des adaptations audiovisuelles de leurs œuvres.
En premier, on trouve l’auteur américain de thrillers James Patterson, l’auteur de plusieurs séries à succès dont celle de l’inspecteur Alex Cross. Le second est Jeff Kinney, auteur de la série pour la jeunesse du Journal d’un dégonflé. La troisième place est occupée par J.K. Rowling, auteur de la saga Harry Potter. Le quatrième est l’auteur de polars judiciaires John Grisham et le cinquième, Stephen King.
A noter qu’il n’y a aucun Français dans les dix premiers de la liste.

Mon cadeau de Noël ?

 

Ma femme m’a offert une liseuse pour Noël, le modèle Ultra Tea. C’est un bel objet sur lequel lire est agréable en raison d’un écran mat donnant la sensation de parcourir la page d’un vrai livre. Je n’ai pas vraiment eu le temps de l’essayer car Alice s’en est emparer pour lire Les contes de Beedle le Barde de l’auteur de la saga Harry Potter.
Si je pense n’utiliser que ponctuellement cette liseuse, voici quelqu’un qui devrait en profiter pleinement…

Tous des monstres ?

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Selon le journal The Sun, les humains seront de plus en plus grands au fil du temps grâce aux progrès de la médecine et à une meilleure alimentation (aujourd’hui, l’Américain moyen mesure déjà 2,5 centimètres de plus qu’en 1960). En 3012, nous atteindrons jusqu’à 2,10 m. Certains éléments de notre physionomie tendraient, eux, à se réduire : comme les intestins (pour échapper à l’obésité), les testicules (du fait du déclin de la fertilité masculine) ou encore les cerveaux (dont certaines fonctions, comme la mémoire, sont désormais prises en charge par des ordinateurs).D’autres, à l’inverse, devraient s’agrandir : il en serait ainsi des bras et des doigts (The Sun évoque ici l’usage d’écrans tactiles qui stimule les terminaisons nerveuses digitales). Outre le fait que nous serons plus gros ? d’où le « quadruple menton » ?, nous aurons moins de dents. Enfin, nous serons moins poilus et plus ridés, du fait ? la logique est relativement obscure ? de la généralisation de la climatisation et du chauffage.