J’ai beaucoup utilisé ce jeu, dérivé du logiciel éducatif « J’ai vécu au XVIIIe siècle » et proposé sur le réseau Ludus par Yvan Hochet, au lycée puis au collège. Il avait été modernisé par Sébastien Peigné qui l’avait informatisé au travers d’un pearltrees et de Google forms. Un collègue, Julien Ravenel, l’a maintenant simplifié et automatisé sous la forme d’activité H5P qui peut être intégrée à un blog (ou à l’ENT) ce qui rend le jeu très souple et simple à mettre en oeuvre avec une correction immédiate et la possibilité de rejouer une partie qui n’aurait pas été réussie.
Catégorie : Jouons un peu !
Une collègue de l’académie de Dijon propose un « voyage virtuel » sous la forme d’un « jeu sérieux » permettant aux élèves de seconde de se projeter dans l’espace méditerranéen au Moyen-âge. Cette activité permet de travailler le récit historique et d’approfondir les notions clés.
Il s’agirait d’un jeu appelée « la plantée » consistant à faire tomber son adversaire en le poussant du pied. Ce qui est étonnant, c’est que dans les deux images, le joueur de gauche semble assis. J’aimerai en apprendre plus sur ce jeu.
Pour terminer la période, alors que les élèves et moi-même étions bien fatigués, j’ai proposé une journée de jeux. Nous avons invité les élèves de Segpa et leurs professeurs d’atelier à venir avec nous. Des élèves calmes, attentifs, s’expliquant mutuellement les règles, s’amusant entre eux ou avec leurs professeurs : c’était une belle journée.























Cet escape game a été créé par une collègue, Manuella Benard-Hoarau, pour ses élèves de quatrième. Elle le met gentiment à notre disposition.

En 1988, les Soviétiques ont copié le Monopoly pour le transformer en un jeu de société avec une touche socialiste, bien que le jeu soit resté aussi compétitif que l’original.
En 1989, la société éditrice du Monopoly a proposé une version à destination de l’URSS.
Vous trouverez ici d’autres jeux de société de l’époque soviétique et là des jeux d’arcade.





Je vais les acheter petit à petit.



Ce jeu de stratégie plait beaucoup à plusieurs élèves d’ULIS, et même à d’autres qui viennent y jouer durant les récréation. C’est pourquoi, j’ai décidé d’acheter cette version qui permet de s’affronter en deux équipes de deux joueurs ou de jouer classiquement à un contre un. Les billes rouges et bleues vont aider certains élèves qui ont du mal à bien distinguer les noires sur le plateau.

Cet outil proposé par l’observatoire des inégalités doit permettre aux professionnels de l’éducation (enseignants, animateurs de centres sociaux, etc.) d’animer des ateliers de sensibilisation sur les inégalités et discriminations auprès des plus jeunes. Cette boite est construite autour du jeu du « Monopoly des inégalités », une extension du Monopoly© dont les règles ont été modifiées pour refléter les inégalités présentes dans notre société, et ainsi inviter les participants à changer les choses. Mais elle comprend aussi deux ouvrages : le livret Les inégalités expliquées aux jeunes, constitué d’un ensemble de fiches qui, en 48 pages, décrivent les inégalités en France et dans le monde. Le second, Comprendre les inégalités, un ouvrage destiné aux adultes, qui décrypte les mécanismes des inégalités : les définitions, les instruments de mesure et les principales problématiques liées à ces questions. Ces deux documents permettent de transmettre les bases sur les sujets des inégalités et discriminations. La boite contient également une clé USB sur laquelle se trouve une sélection de 21 affiches ou vidéos.



J’ai découvert grâce à Twitter le jeu sérieux La fresque de la ville, utilisable en troisième sur le thème des aires urbaines en France. Il se joue en équipes de 5 à 8 personnes qui collaborent et débattent pour organiser des cartes dans un ordre logique cause-conséquence. Elles composent alors progressivement une grande fresque décrivant la façon dont nous fabriquons nos villes. C’est un moyen ludique de sensibiliser aux impacts de la fabrique de la ville, mais aussi de réfléchir aux moyens d’améliorer les choses. Le jeu dure environ 1h30, la dernière demi-heure permet de débriefer sur le jeu et de réfléchir à des pistes d’action.
Le jeu est structuré sur une trame pédagogique directement inspirée de la Fresque du climat, mais son contenu est issu, entre autre, du Manifeste pour un urbanisme circulaire, écrit par Sylvain Grisot.
Le jeu est imprimable en PDF après inscription ou bien à commander (3 jeux de 40 cartes pour 25 euros).
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