Ecoeurement

Marc-Antoine Jamet, par ailleurs secrétaire général du groupe de luxe LVMH, alerte ses réseaux politiques parisiens : « J’ai contacté la ministre déléguée chargée des personnes handicapées, ­Geneviève Darrieussecq, le directeur de cabinet du ministre de l’inté rieur et le secrétaire général adjoint de l’Elysée. Ils ont été très réactifs, je leur en suis reconnaissant. »

Rien ne va dans cette situation : l’agressivité de la mère de l’enfant a qui une solution a pourtant été proposée et qui, la refusant, insulte et menace les enseignants qui font ce qu’ils peuvent avec son enfant autiste ; le comportement inhumain de tous ceux qui ont pris à partie les enseignants et le maire sur les réseaux sociaux et, pour finir, la mise en place d’une solution d’accueil sur mesure parce que le maire a ses entrées au gouvernement. Tout cela est écoeurant ! 

Le premier baiser

“Amants de Ain Sakhri”, calcite, Israël.

Les baisers sur la bouche, à connotation amoureuse et sexuelle, étaient évoqués en Mésopotamie et en Égypte dès 2500 av. J.-C. dans des textes révélés par deux chercheurs danois dans la revue Science. Mais la statuette des “Amants de Ain Sakhri”, qui serait vieille de 11 000 ans, laisse penser à une apparition encore plus ancienne du baiser langoureux.
Cette pratique pourrait toutefois remonter à la préhistoire si l’on en croit une étude portant sur le transfert du coccobacille buccal Methanobrevibacter oralis, qui tendrait à prouver que néandertaliens auraient déjà embrassé sur les lèvres des ancêtres des humains modernes il y a plus de 100 000 ans.

D’après un article de la revue Science.