Je ne suis pas tellement d’accord…

Avec Bernard Girard, un collègue qui tient le blog Journal d’un prof d’histoire. Il rejette les commémorations du centenaire de la Première guerre mondiale, évoque du « bourrage de crâne » et déclare que l’on passe ainsi, volontairement, sur les vraies et bonnes questions concernant ce conflit.

Je trouve sa vision étroite et partiale. Et même si telle était la volonté du ministère et de l’exécutif (je doute personnellement  que leur réflexion soit aller jusque là !), qu’est-ce qui empêche tout professeur de profiter de ces commémoration pour « faire de l’histoire », véritablement, avec ses élèves ?

Je trouve que la tendance actuelle des profs d’histoire à se plaindre pour tout est pénible. Nous disposons d’une énorme liberté pédagogique en réalité, mais il faut se retrousser les manches et ne pas attendre qu’on nous dise quoi faire…